Les casteurs des futures stars du X-biz américains ne sont pas les grands studios.
Qui trouve
les hardeuses de demain ?
Les grandes compagnies américaines tournent-elles en rond ? Lorsqu’il s’agit de débusquer les hardeuses de demain, les huiles du X-business font en effet tapisserie : la plupart choisissent des actrices révélées par des productions qui ont eu du flair et les débauchent contre une promesse de gloire et de glamour. C’est le cas de Teravision et de Digital Playground qui ont engagé Lupe Fuentes et Rio Valentine, deux actrices révélées par Pablo Lapiedra et Cezar Capone, mais starisées par les deux titans de la Porn Valley.
« Des compagnies du calibre de Digital Playground parient sur des valeurs sûres, explique Katsuni, l’une des contract girls de la maison de production Digital. Etre engagée chez Wicked Pictures, Adam&Eve ou autre, c’est également un bâton de maréchal. On engage aussi bien les hardeuses sur leur potentiel érotique et commercial que sur leur réputation et leur popularité ».
Par Nicolas Nykvist
Paru le 29 juin 2009
