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Le Japon plus clément pour l’après-porno

Le Japon plus clément pour l’après-porno


Si les Japonais sont des gros consommateurs de films X, ils semblent également accepter plus facilement le passé des actrices lorsque celles-ci désirent se reconvertir.




Dans le domaine sportif, on entend souvent parler de la reconversion des athlètes. Mais ce terme semble absent du vocabulaire du X. On s’interroge plutôt sur la vie après le porno, comme si une reconversion était impossible. Que deviennent les actrices ? Certaines, comme Brigitte Lahaie ou Clara Morgane ont conservé une certaine présence médiatique, mais en général, à moins de rester proche de l’industrie du sexe, les nouvelles se font rares. Il suffit de se souvenir de Laure Sainclair, qui a pratiquement disparu de la circulation après sa tentative peu concluante de se lancer dans la chanson.

Grand public

Reste qu’en Asie, et principalement au Japon, la problématique semble quelque peu différente. En grande partie à cause du côté prolifique de l’industrie de l’Adult Video (AV) qui sort près de 3 000 titres annuellement, mais aussi pour la place qu’il occupe dans la société. Il n’est ainsi pas rare de retrouver des stars comme Maria Ozawa ou Sora Aoi dans des téléfilms ou des publicités diverses et variées. Ce qui, naturellement, facilite la reconversion dans la mesure où les passerelles entre le X et les autres domaines sont un peu plus évidentes. Pour preuve, les actrices ne se mettent que rarement en couple avec des personnes également dans l’industrie. Sora Aoi fréquentait ainsi à une époque le comique Jiro Hachimitsu tandis que Maria Ozawa était vue en compagnie de l’acteur et chanteur Koki Tanaka.

Cette présence médiatique demeure néanmoins un privilège réservé aux principales vedettes de l’AV. Il existe évidemment un revers à cette médaille, avec l’obligation dans certaines sociétés de taire son passé au risque de prendre rapidement la porte. Mais la situation économique de cette industrie dans l’archipel, qui génère plus d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires chaque année, offre encore une certaine garantie aux actrices professionnelles de pouvoir s’enrichir assez rapidement. Et un semblant de stabilité qui leur permet habituellement de reprendre leurs études ou démarrer leur propre entreprise… avec leur propre financement.