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John Stagliano évite la prison

John Stagliano évite la prison


C’est une victoire pour le patron d’Evil Angel puisque l’accusation a été déboutée dans l’affaire d’obscénité qui courrait depuis plus de deux ans. Mais cela ne permet pas à l’industrie du X de clarifier totalement son statut aux Etats-Unis.




Voilà plus de deux ans que durait cette affaire. Depuis 2008, le patron d’Evil Angel, John Stagliano, devait répondre devant la justice américaine de plusieurs chef d’accusation se rapportant aux lois contre l’obscénité, dont la diffusion par courrier et par internet de telles productions. Presque une hérésie dans un pays vouant quasiment un culte à la liberté d’expression et au premier amendement à la constitution qu’il a engendré.

Des fans partout

Reste que si John Stagliano a évité les 32 ans de prison et les sept millions de dollars d’amende qu’il encourait, ce n’est pas sur la base de ce premier amendement mais plutôt du fait des errements de l’accusation qui n’a pu présenter une bande-annonce de Fetish Fanatic 5 comme pièce à conviction et s’est emmêlé les pinceaux avec un témoin. Et le fait que l’accusation soit déboutée de la sorte s’avère à la fois positif et négatif. Surtout dans la mesure où les accusations d’obscénité ne sont jamais limpides et possèdent souvent des ramifications politiques.

Depuis 1973 et une décision de la Court Suprême, l’obscénité dans un média visuelle correspond à « un comportement sexuel manifestement choquant » appelant « un intérêt lascif » et « dénué de valeurs artistique, littéraire politique ou scientifique sérieuse ». Une définition qui permet une certaine liberté d’interprétation selon les cultures locales, suffisamment du moins pour permettre d’engager des poursuites à l’encontre d’un producteur de films X. Du coup, sans clarifier pleinement le statut du porno aux Etats-Unis, cette affaire à permis de mesurer l’impact de cette industrie dans toutes les sphères. Comme le souligne Aurora Snow sur le site d’AVN en expliquant que de nombreuses personnes au tribunal comptaient parmi ses fans. Mais sera-ce suffisant pour éviter des affaires similaires à l’avenir ?





John Stagliano

John Stagliano


John Stagliano

John Stagliano avec Bobbi Starr et Dana DeArmond


John Stagliano

John Stagliano avec Bobbi Starr, Dana DeArmond, Manuel Ferrara, Christophe Clark et Christian Mann