L’actrice spécialisée dans les productions saphiques est à l’affiche d’une pièce de théâtre à New York.
Que ce soit dans le porno ou dans ses activités annexes, Sasha Grey attire toujours l’attention médiatique. Pourtant, dans son ombre, d’autres actrices développent également leur éventail de compétence, même si c’est de manière plus confidentielle, à l’image de Justine Joli. L’actrice qui n’hésite pas à s’aventurer dans des rôles de composition au sein même du X, à l’instar de son personnage de prisonnière timide dans River Rock Women’s Prison, sorti la semaine dernière, embrasse plus généralement la carrière d’actrice grand public.
Nudité
La jolie rouquine était ainsi à l’affiche de Black Dynamite, une parodie des films de blaxploitation sortie le mois dernier. Certes, son rôle, comment souvent pour les actrices passées par le porno, avait un lien fort avec le sexe. Ce qui n’était pas tout à fait le cas de sa performance burlesque dans le spectacle The Bo, il y a deux ans de cela. Une prestation qui lui a d’ailleurs permis d’obtenir le rôle de la femme de Caligula dans la pièce de théâtre, Caligula Maximus, qui se joue actuellement à New York. « Je suis quasiment toujours sur scène en train de faire quelque chose » explique-t-elle à AVN.
« Et pour répondre à la question que tout le monde se pose, oui il y a de la nudité dans la pièce. D’ailleurs, je fais l’ouverture à poil ! » Ce qui n’est pas vraiment pour la déranger. « Je crois que je me sens plus à l’aise nue qu’habillée », avoue-t-elle tout en ironisant sur les intentions du metteur en scène. « C’est amusant parce qu’il essaye de faire ce qui s’appelle du nu artistique, mais ça reste de la nudité ». Mais pas devant une caméra.
Justine Joli
Justine Joli
Justine Joli
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